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Noctis Requiem
10 avril 2010

Chapitre 7 : avancement (2)

10 pages, 5998 mots, soit 604 mots supplémentaires par rapport à mardi! Bon c'est vrai, ça ne casse pas la baraque mais c'est déjà pas mal si on considère que je n'ai repris le chapitre que ce matin dans le train me menant au boulot XD;

Pour clore ce chapitre, il me reste encore 3 points à aborder (au minimum) et vu que je suis à peu près à la moitié de mon plan de chapitre là... je compte dans les 15-20 pages rien que pour celui-ci... ce qui est déjà pas mal n'est-ce pas? Jamais je n'arriverai à écrire autant de pages par chapitres que Babel dans Phenomena... mais il faut dire aussi que le principe est tout à fait différent: pour Phenomena, vous avez une enquête par chapitre; pour Sabreclair, vous avez l'équivalent d'une journée ou d'un évènement précis par chapitre à peu près sous différents points de vues... logique donc que je n'arrive pas à 300 pages dès le chapitre 5 @__@

Est-ce un bien ou un mal? Franchement j'en sais rien... c'est juste une conception de récit totalement différente voire même antagoniste et pourtant Dieu sait que j'adore lire Phenomena (à ce propos Babel... new chapter? O.O)! J'attends d'ailleurs impatiemment la suite!

Une bataille d’usure ; principalement basée sur les actes de piraterie de l’Empire qui envoyait ses brigands piller les villages côtiers et les grandes villes portuaires puis attaquer et couler les navires marchands y entrant et en sortant ; en d’autres termes, les caisses du duché se vidaient irrémédiablement et la moitié des échanges commerciaux était voué à l’échec. C’est grâce à l’ingéniosité des princes Arbalastre et Serval – dont les provinces logeaient les deux grands ports du Duché de Ventury– que l’on finit par remonter la pente ; ces deux derniers utilisèrent leur fortune personnelle afin d’engager des corsaires sans pitié qui décimèrent les pirates tarwiniens les uns après les autres, finissant par repousser les derniers navires jusqu’à leurs propres côtes ; où, affamés, acculés et affaiblis, ils s’en prirent finalement à leurs maîtres.

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